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Le tourisme en Tunisie : enjeux, faits et chiffres, les stratégies des entreprises (hôtels, agences de voyages). Mieux connaître les produits et les marques (thlassothérapie & spa, MICE, golf…)
Partie de Sousse en l’an 827, une armée de volontaires tunisiens a entrepris la conquête de la Sicile byzantine ; point de départ d’un âge d’or et d’un melting-pot de cultures et de religions. Depuis, les liens étroits entre l’île italienne et la Tunisie ne se sont pas démentis.
A entendre les commentaires des uns et des autres, aucun des nombreux candidats au portefeuille du Tourisme ne serait acceptable. Nous y allons nous aussi de notre suggestion…
Les vols sur Gafsa et Gabès reprendront à partir du 21 janvier au rythme de 2 vols …
La quinzième édition du guide de la thalassothérapie, du bien-être et du Spa en Tunisie sera diffusée sur le salon Thermalies.
Baisse de la fréquentation, augmentation des coûts… Face à la détérioration de leur rentabilité, les hôteliers sont tentés par les chaînes internationales, quand ce n’est pas la fermeture pure et simple.
Les statistiques officielles sont-elles crédibles ? En analysant les chiffres de l’ONTT, on s’aperçoit que le potentiel touristique du pays est surévalué et que les produits de diversification s’effondrent.
De la pointe du cap Bon au sud-ouest de la Sicile, il n’y a que 140 km. Pas étonnant si, depuis l’empire de Carthage jusqu’aux pêcheurs de Trapani, en passant par l’émirat de Palerme et le royaume normand, le destin de la Sicile a souvent été lié à celui de la Tunisie. Une longue histoire qu’on retrouve à chaque pas.
Si la chaîne Abou Nawas n’existe plus, son esprit est toujours présent. Retour sur l’histoire de l’Abou Nawas, une coopération tuniso-koweitienne qui a longtemps fait rêver.
« La vocation de l’AMC est de valoriser les actifs acquis et de permettre la réalisation de bénéfices pour l’Etat. Et c’est ce qui différencie l’AMC d’un “fonds vautour” qui achète à bas prix pour revendre tout de suite. »
La création prochaine de la Société de Gestion d’Actifs ne manquera pas de susciter débats et polémiques à la mesure des enjeux : pas moins d’un milliard de dinars, qui seront cédés avec une décote importante – d’où la discrétion du gouvernement et la rage des hôteliers.
