Aladin ferme pour maintenance

L’hôtel Seabel Aladin, jusque-là loué à Thomas Cook sous l’enseigne Eldorador et repris par Seabel Hotels à partir de ce mois de novembre, fermera ses portes pour des travaux de maintenance jusqu’au 11 avril 2014. Un lifting rendu nécessaire après huit années de location à Thomas Cook.




Dar Djerba sous la houlette de TUI Hotels

Comme nous l’annoncions dans notre précédent numéro, le complexe Dar Djerba n’a pas ouvert ses portes le 19 octobre comme prévu. L’ouverture se fera probablement au mois de novembre sous la houlette de TUI Hotels, la nouvelle filiale de TUI en Tunisie chargée de la gestion des hôtels en location. Celle-ci, dirigée par Mosaab Batikh, est déjà en charge des hôtels Skanes Palace, Chiraz et Tropicana à Monastir.




Le thermomètre et le médecin

La mise en cause des statistiques officielles, lancée de temps en temps par un professionnel agacé des discours d’autosatisfaction de tel ou tel responsable, semblait pour nous relever du domaine de la rumeur.

Ce mois-ci, nous avons voulu en avoir le cœur net en décortiquant ces statistiques. Le constat est accablant : par habitude, par ignorance ou par incompétence, l’administration gonfle le nombre de “touristes” de quelque deux millions de “visiteurs excursionnistes” ou de simples “voyageurs en transit” en assimilant toutes les entrées aux frontières à des entrées de “touristes” – et ce, en dépit des critères et des définitions internationales adoptés par notre administration et rappelés dans ses publications (lire notre dossier).

Du coup, tous nos ratios, tous nos plans sont faussés, à commencer par le rendement de nos dépenses, l’efficacité de notre promotion.

Au Québec, d’où nous revenons dans le cadre du voyage promotionnel de Syphax Airlines, on parle de “voyageurs avec nuitées”. Et dans les statistiques officielles, on présente séparément les touristes et les excursionnistes, l’addition des deux donnant le total des “visiteurs” comme le stipule l’OMT. De plus, les visiteurs y sont répertoriés selon l’âge, le sexe et surtout la motivation de voyage (agrément, affaires ou visite familiale) ; des informations dont nous ne disposons toujours pas en Tunisie alors qu’elles figurent sur les fiches de police que remplit obligatoirement tout visiteur à son arrivée à l’aéroport.

Au lieu de cela, l’ONTT préfère nous gaver d’ “arrivées aux frontières” qui se transforment dans les discours, et même dans les documents, en “touristes” (voir ci-dessous un extrait du « Tourisme en chiffre 2012 »).

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Conclusion : on ne doit pas s’attendre à ce que notre tourisme guérisse de ses maux avec un thermomètre détraqué et un médecin borgne.

Lotfi Mansour




Le vrai bilan du tourisme tunisien

Le bilan du tourisme tunisien n’est  pas celui qu’on nous présente. En confondant le nombre d’arrivées et le nombre de touristes, on surévalue les performances touristiques du pays. Et tout indique que les produits de diversification s’effondrent.

En analysant les chiffres de l’ONTT, on s’aperçoit que le bilan du tourisme tunisien n’est  pas celui qu’on nous présente. Le potentiel touristique du pays est largement surévalué. A peine 4 millions de touristes non résidents en 2012, au lieu des 6 millions annoncés : l’administration compte comme touristes des voyageurs en transit ou des  croisiéristes qui ne passent que quelques heures dans le pays. Sans doute ce subterfuge est-il une ancienne habitude ; mais la “machine à faux touristes” n’a jamais cessé de fonctionner. Par ailleurs, le recul – ou plutôt l’effondrement – de tous les produits de diversification est un fait nouveau, et alarmant.

Avec le taux de la croissance économique, les performances ou contre-performances du tourisme sont un des sujets qui alimentent le plus les polémiques ces derniers temps. La dernière en date a été lancée par l’ancien ministre des Finances Houcine Dimassi. Celui-ci a déclaré le 14 octobre sur une radio que « parler d’une réussite de la saison touristique actuelle est une manière de tromper l’opinion publique », mettant en doute le lien entre résultats économiques et volume d’entrées touristiques.

Houcine Dimassi ne croyait pas si bien dire, sauf que « la tromperie » réside dans les chiffres mêmes des entrées. A l’occasion de la parution, ce mois-ci, du « Tourisme en chiffres » que publie annuellement l’ONTT, nous avons choisi de faire parler ces chiffres concernant l’année 2012. Et comme chacun le sait, les chiffres sont têtus.

Il en ressort deux principales conclusions :
–         le secteur est plus en recul qu’on ne le dit puisque le comptage des touristes est contestable ;
–         le secteur a pris le chemin inverse des “déclarations stratégiques”, notamment en matière de diversification. Tourisme culturel, thalassothérapie, golf, tourisme saharien : tous ces produits ont en commun que leur activité a chuté de moitié, sinon plus ; et 2013 n’y pourra rien changer.

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Les arrivées, oui ; mais lesquelles ?

Selon les statistiques officielles, le nombre de touristes ukrainiens aurait progressé de 66% entre 2010 et 2012, et réaliserait encore un bond de 60% durant les 9 premiers mois de 2013 par rapport à 2012. C’est cet exemple que cite un hôtelier de Djerba pour dénoncer « les tromperies des statistiques officielles ». Car selon lui, ces Ukrainiens, « on n’en voit pas la couleur dans les hôtels puisqu’ils ne font que transiter par la Tunisie pour aller en Libye où ils travaillent ».

Le cas des Ukrainiens illustre moins une falsification des chiffres officiels qu’un “mensonge par omission”. L’administration, depuis belle lurette, enjolive l’attractivité touristique du pays en mettant en avant les “arrivées aux frontières” et non pas, comme l’auraient souhaité les hôteliers, les “arrivées dans les hôtels” qui sont pourtant publiées chaque année par l’ONTT.

En effet, en 2012 les “arrivées aux frontières” – qui comptabiliseraient, selon l’ONTT, « tout visiteur qui effectue un séjour d’au moins 24h en Tunisie ou au moins une nuitée »  – se montaient à 5,9 millions de “touristes”. Alors que dans les hôtels, l’ONTT ne dénombrait que 4 millions d’arrivées de non-résidents (y compris quelque 38 000 Tunisiens résidents à l’étranger). Et c’est la différence entre ces deux chiffres, soit 1,87 million, qui fait polémique. S’agit-il de “vrais touristes”, qui logent chez l’habitant ou louent des logements, ou s’agit-il de simples voyageurs en transit ?

Dans le cas des Ukrainiens, c’est cette dernière hypothèse qui semble la plus vraisemblable puisqu’ils étaient 26 754 à franchir nos frontières en 2012, mais seulement 6 415 à arriver dans nos hôtels. Où sont passés les 20 000 autres Ukrainiens ? Certainement pas en aussi grand nombre à loger chez l’habitant.

La thèse du recours au logement locatif semble plus plausible dans le cas de nos voisins algériens et libyens. Mais cet argument, longtemps avancé par l’administration, ne résiste pas non plus à l’examen des chiffres.

En effet, en 2012 les arrivées de Libyens aux frontières étaient de 1,887 millions, mais avec une durée moyenne de séjour dans le pays de seulement 0,5 jour. Pour les Algériens, les arrivées aux frontières se montaient à 901 674 visiteurs, pour durée de séjour de 0,7 jour. Ces chiffres supposent qu’il existe une grande part de ces “visiteurs” qui n’ont passé en Tunisie qu’une heure ou deux, en tout cas moins d’un jour. Ils ne méritent donc pas l’appellation de “touristes” – du moins selon la définition donnée par l’ONTT lui-même, tout comme l’OMT pour qui « un visiteur est qualifié de touriste s’il passe au moins une nuit sur place ».

Ceci est d’autant plus vrai qu’un cinquième des Libyens (394 510 touristes) et un quart des Algériens (240 715) ont séjourné dans les hôtels, avec une durée moyenne de séjour hôtelier respectivement de 2,5 et 2,8 jours (l’ONTT distingue la « durée moyenne de séjour » qu’elle définit comme « le nombre moyen de nuitées passées dans le pays » et la durée moyenne de séjour hôtelier définit comme étant « le nombre moyen de nuitées passée dans les établissements d’hébergement »).

Reste le cas des croisiéristes qui sont de vrais visiteurs non résidents. Ils ne passent pas une nuit en Tunisie et ne peuvent donc être comptés comme “touristes”, mais plus exactement, et selon l’OMT, comme des “excursionnistes”.

Dans tous les cas, le nombre d’arrivées dans les hôtels est plus proche de la réalité du flux de touristes internationaux que celui des arrivées aux frontières. Et encore, ce nombre d’arrivées dans les hôtels dépasse le nombre réel de touristes, puisqu’un même touriste peut être compté plusieurs fois dans plusieurs hôtels au gré de ses déplacements et de ses excursions à travers le pays.

Adopter les “arrivées aux frontières” comme  critère pour dénombrer les touristes apparaît dans ces conditions comme une tromperie manifeste. Si on adoptait les arrivées dans les hôtels comme mesure de la performance du tourisme tunisien, on s’apercevrait que le recul entre 2010 et 2012 est de 20%, et non de 13,8% comme le laisse apparaître le critère des arrivées aux frontières. Ceci explique-t-il cela ?

graphique21_2Source : ONTT (il est à signaler que l’ONTT ne publie plus les chiffres de l’emploi dans le tourisme depuis 2011)

 

Il était une fois la diversification

« La culture, c’est comme la confiture : moins on en a, plus on l’étale. » C’est cet adage que les responsables du tourisme tunisien semblent mettre en application lorsqu’ils multiplient les déclarations selon lesquelles l’avenir du tourisme tunisien serait culturel ; un avenir qui serait aussi fait de tourisme régional et de diversification tous azimuts.

Pourtant, depuis la révolution, on a pris le chemin inverse et annihilé dix ans d’une diversification certes modeste, mais bien réelle. En effet, entre 2010 et 2012, la fréquentation des sites et musées a chuté de 48%. Celle des centres de thalasso, de 44%. De même pour les golfs où le nombre de green-fees a, lui aussi, reculé de 44%.

Pour certains marchés, ce recul est alarmant et semble indiquer un changement profond de la demande pour la Tunisie. Il en est ainsi pour le marché français où le nombre de curistes en thalassothérapie s’est effondré de 62% (31 973 contre 82 406 en 2010), contre un recul des nuitées de “seulement” 32% (5 887 340 nuitées contre 8 700 649 en 2010). Alors que sur d’autres marchés la baisse des curistes suit la même tendance que celle des nuitées – comme en Suisse où la baisse des curistes atteint 44%, à peine plus que les nuitées qui fléchissent de 39,9%. On en déduit que la clientèle française n’a pas seulement diminué en volume : elle a aussi changé de nature.

Quant aux régions défavorisées, censées devenir prioritaires par la grâce de la révolution, leur situation est encore pire qu’avant. La région de Gafsa-Tozeur a perdu près de 70% de ses nuitées (310 919 nuitées contre 998 287 en 2010). Celle de Tabarka-Aïn Draham enregistre un recul de 40% de ses nuitées.

Il semble bien que, contrairement aux politiques affichées, le tourisme tunisien redevient de plus en plus balnéaire et de plus en plus concentré sur les régions classiques.

LM




Statistiques : légère hausse en octobre

Les trois premières semaines du mois d’octobre se soldent par une hausse des entrées européennes de 21,5% par rapport à 2012 avec quelque 200 000 entrées. Pour ces trois semaines, les quatre principaux marchés, à savoir France, Allemagne, Royaume-Uni et Italie, étaient en hausse avec des taux respectifs de 12,9%, 4,3%, 38,6% et 49%. Le cumul des entrées depuis le mois de janvier affiche une hausse de 5,4% par rapport à la même période de 2012 et une baisse de 10,6% par rapport à 2010 avec notamment un recul des Européens de 1,2% et de 22,7% par rapport à 2010.

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Petite histoire d’un vol historique

En un temps record – moins d’un mois depuis la décision prise lors du salon IFTM à Paris – Syphax Airlines a réussi à mettre sur pied un voyage promotionnel vers Montréal. Ce vol entrera dans les annales comme étant le premier vol direct reliant la capitale tunisienne à son homologue québécoise. Au bilan de ce voyage, qui a eu lieu du 23 au 27 octobre, on comptera aussi le Forum d’affaires organisé à Montréal le 24 (comme un prélude à la mission d’affaires qu’organisera au printemps prochain le Conseil Canadien pour l’Afrique au siège de la BAD à Tunis) ainsi que la participation de nombreux professionnels tunisiens au Salon International Tourisme et Voyages de Montréal. Avec comme effet inattendu le retour de Tunisair dans la course du long-courrier (lire notre article).

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Jusqu’à l’ultime journée du 23 octobre, on n’y croyait qu’à moitié. Un problème de dernière minute pouvait toujours empêcher le projet de devenir réalité – et la grève des aiguilleurs du ciel entamée l’avant-veille à l’aéroport Tunis-Carthage maintenait le suspense à son apogée. Finalement, vers 10h30 a retenti dans la salle d’attente l’appel à l’embarquement du vol FS8330 Tunis-Montréal sans escale de Syphax Airlines.

Le temps de s’installer dans les sièges de l’A330 – et, pour certains, de découvrir cet exemplaire unique en Tunisie du gros porteur – et le décollage est annoncé. Les quelque 160 passagers, hommes d’affaires, agents de voyages et journalistes semblent en attente des consignes de l’équipage pour pouvoir circuler dans les couloirs de l’avion et entamer au plus vite une sorte de workshop dans les airs. On s’échange les cartes de visites et les dernières informations, blagues ou anecdotes. On voit même l’ambassadeur du Canada en Tunisie, Sébastien Beaulieu, procéder en toute simplicité à une distribution de stylos au sigle de son pays (photo). Dans cet exercice de charme, M. Beaulieu a été précédé par Ridha Saïdi, ministre auprès du Chef du gouvernement chargé de l’Economie, qui, accompagné par le conseiller économique de la Présidence de la République Anis Jaziri, a tenu à saluer tous les passagers individuellement.

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Neuf heures et demie plus tard, c’est sous les applaudissements des passagers que l’avion atterrit en douceur à l’aéroport Pierre Elliot Trudeau de Montréal. Une bonne humeur ternie quelques minutes après par les mauvaises nouvelles qui tombent déjà, via les smartphones (ou plutôt les “téléphones intelligents” comme disent les Québécois), concernant les incidents survenus en Tunisie durant la journée. Et c’est l’air grave que la délégation tunisienne se présente devant les journalistes pour un point de presse quelque peu improvisé (photo) en présence de notre ambassadeur à Ottawa, Riadh Essid, qui auparavant avait accueilli tous les participants à leur sortie de l’avion.

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Forum d’affaires organisé à Montréal le 24 octobre.
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Jour de retour à l’aéroport Pierre Elliot Trudeau de Montréal.
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Syphax, l’aiguillonneur du ciel

Au regard du secteur du transport aérien en Tunisie, l’annonce du vol promotionnel vers Montréal du 23 octobre, qu’on a d’abord pris pour un nième bluff de la part du PDG de Syphax Airlines, aura eu un effet inattendu bien avant son décollage : nous montrer un visage oublié de Tunisair. En effet, après des mois passés à se lamenter sur son sort, la compagnie nationale a tenté de reprendre l’initiative en se mettant dans la course du long-courrier. Son staff, PDG en tête, s’est déplacé en plein Aïd El Kébir à Montréal pour mettre sur la table ce qu’on a appelé son “joker”, à savoir son alliance avec la compagnie libyenne Afriqiyah.

Certes, on s’attend déjà à une bataille entre les deux compagnies tunisiennes pour se partager les trois slots qui ont été accordés par les autorités canadiennes (pour rappel, Air Algérie en est à six vols par semaine et en demande un septième). On prévoit aussi les effets, forcément négatifs pour le pavillon national, d’une probable guerre des prix et des déclarations. Mais au-delà de tout cela, on salue le regain de vitalité de Tunisair ; celle-ci est allée jusqu’à envoyer deux de ses cadres sur le salon du tourisme de Montréal pour y annoncer des vols directs Tunis-Montréal dès le mois de juin prochain.

En attendant de connaître l’issue de cette guéguerre (qui pourrait prendre simplement fin par une formule de coopération, qu’elle soit négociée ou imposée par le ministère de tutelle), on sait que la compagnie Syphax Airlines rend déjà bien des services au pavillon national en aiguillonnant ce mammouth qu’est devenu Tunisair.

Rien que pour cette raison, la jeune compagnie a largement gagné son droit à figurer dans le paysage aérien tunisien.

LM




Salon International Tourisme et Voyages de Montréal

Depuis 2011, notre diaspora au Canada est passée de 10 000 résidents à quelque 25 000. Dans le même temps, le nombre de touristes canadiens visitant la Tunisie chutait de quelque 6000 arrivées, passant de presque 17 000 en 2010 à 11 000 en 2012, soit un recul de 33% (alors que le recul était de seulement 10% pour les Américains).

Ce mouvement inverse s’explique, du moins en partie, par le peu de moyens et d’intérêt que nous semblons accorder désormais à ce marché. La preuve : un stand tunisien anachronique arborant un logo qui n’est plus utilisé (photo), ou le cas de ce voyagiste à qui on envoie deux bouteilles de vin pour une réception de 500 personnes censée promouvoir ses destinations, dont la Tunisie.
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Pourtant, le potentiel du Canada est à l’image de ce grand pays : immense. En 2010, ils étaient plus de 8 millions de touristes canadiens à voyager à l’étranger en dehors des USA, dont 4,2 millions en Europe, avec une durée moyenne de séjour toutes destinations confondues s’élevant à 15,7 nuitées. C’est dire l’espoir que suscitent les probables nouvelles liaisons entre Tunis et Montréal.

Un espoir qu’on a retrouvé dans les allées du salon de Montréal, où les contacts se nouaient et les négociations se menaient en prévision de cette liaison. C’est le cas du TO Air Marin qui entame une collaboration avec l’agence Cartago Voyages. Celle-ci, créée en 1999 et rachetée en 2010 par Chadia Boukhris (photo, en compagnie de Tahar Khadraoui, PDG de Must Air Marin, et Ridha Romdhane, directeur du développement de Cartago) et réalisant un chiffre d’affaires de 1,4 millions CAND, compte bâtir son développement sur les nouvelles lignes directes.
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Tunisair était représentée par son directeur des ventes, Helmi Hassine, et Mehdi Essid de la direction de la Communication.
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L’image de l’Espagne et l’image de la Tunisie chez le TO canadien Celebritours :
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Les Miss Belgique à Djerba

En vue de l’élection de Miss Belgique 2014 qui se déroulera le 11 janvier prochain, les 24 finalistes ainsi que les détentrices du titre des années 2013 et 2011 sont venues se prélasser à l’hôtel Hasdrubal Prestige Djerba, le 24 octobre dernier. L’occasion pour l’hôtel de promouvoir la grande variété des habits traditionnels de la région et… l’immense piscine de l’Hasdrubal Prestige.

Photo du haut : au centre, le DG de l’hôtel, Mohamed Ali Jlaiel.

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Au sommaire du magazine Le Tourisme n°21

Retrouvez dans Le Tourisme n°21 du 1er novembre 2013 :

– Vol Syphax Tunis-Montréal : Syphax, l’aiguillonneur du ciel ; petite histoire d’un vol historique ; Salon International Tourisme et Voyages de Montréal

– Le vrai bilan du tourisme tunisien : les statistiques officielles sont-elles crédibles ?

– Le Mag :  SUR LA TRACE DES TUNISIENS EN SICILE  (deuxième partie : la Sicile arabe et normande)